Programmation annuelle

Il est temps de lever le rideau sur la nouvelle saison culturelle de l’Alizé afin de faire apparaître la richesse et la diversité des rendez-vous inscrits à l’agenda. Alors bien sûr, on y retrouve quelques habitués, des spectacles jeunes publics toujours très prisés, une bonne dose de divertissement, des expositions, de la danse et surtout d’alléchantes têtes d’affiches bref, de quoi satisfaire un large public. Petit tour d’horizon non exhaustif…

Alors, quoi de neuf du côté de l’Alizé cette saison ? Outre la présence d’un étonnant petit volatile musicien, œuvre d’Ewen Prigent de la boîte graphique, qui illustrera les spectacles jusqu’à l’été 2019, Nicolas Cann, conseiller délégué à la culture, tient surtout à souligner le grand retour des dates proposées par des producteurs. Plus d’une dizaine (contre à peine la moitié en 2017-2018) trouvent ainsi leur place dans l’agenda. La raison ? « Cela s’explique par plusieurs facteurs : tout d’abord le travail combiné de programmation des élus et de l’équipe de l’Alizé, avance-t-il.  Et puis il faut se souvenir que nous avons investi récemment dans du matériel technique pour le son afin de combler notre retard par rapport à des salles environnantes. Les producteurs y sont sensibles. Bref, tout cela vient souligner et renforcer la place de l’Alizé et son importance dans la métropole. » 

De Abba à NúñeZ

Ainsi, dès le 28 septembre, Orcade spectacles propose Génération Abba avant d’enchaîner avec un concert de Madame Monsieur, le 29 novembre. Diogène productions a programmé Henri Dès le 16 mars et Anne Roumanoff le 13 avril. Enfin, Arsenal productions propose comique, musique et théâtre sur la scène guipavasienne en faisant venir Pierre-Emmanuel Barré, le 18 janvier, Camille Lellouche, le 18 mai, Carlos Núñez, le 12 mars et la comédie musicale Priscilla folle du désert, 3 jours plus tard. Lenni-Kim est annoncé pour le 15 mai et, côté théâtre, Le clan des divorcées foulera les planches, le 31 mars. Entre nous, il se chuchote aussi en coulisse que d’autres surprises pourraient encore s’intercaler parmi ces rendez-vous dans les prochaines semaines...

Musique, théâtre, etc., pour les plus jeunes

« Ce qui fait le succès de l’Alizé a logiquement été conservé cette saison », ajoute Nicolas Cann. Ainsi, les propositions en direction des scolaires et du jeune public s’offrent une large part de la programmation. Avec une palette culturelle très variée puisqu’elle couvre tout autant la musique avec Chansons dragon, le 20 décembre ou Bouskidou le 20 février que le théâtre : Brut, le 6 mars, Plis /sons, le 14 mars, ou encore les spectacles de marionnettes avec Loulou, le 14 novembre et Du vent dans la tête, le 6 février. 

Les rendez-vous annuels

La programmation  de cette saison se caractérise également par la présence  de temps forts : Paroles de poilus / maro evit ar vro en est l’exemple parfait. Temps forts auxquels s’ajoutent aussi des propositions portées par des associations comme le spectacle de Chantal Ladesou, le 7 avril à l’initiative de Fée du bonheur. Enfin, le public retrouvera bien entendu, tous les rendez-vous annuels qui rythment la vie communale et qui deviennent, petit à petit, des incontournables :  Anim’land les 24 et 25 octobre, Halloween party, le 31 octobre, le Tremplin magique et le Festival de magie (25, 26 et 27 janvier) sans oublier la Teen party du 10 avril, Fanfares en fête, le 5 mai et bien sûr, la Fête de l’été du 6 juillet. « L’idée, c’est de repositionner l’Alizé et Guipavas sur la carte culturelle de la métropole », conclut Nicolas Cann. L’affaire semble plutôt bien engagée pour la saison !   

Informations annexes au site

Agenda